À partir d’anciennes cimaises d’exposition, je recompose l'espace comme on construit son terrier. Mêlant la contrainte du corps en créant des espaces réduits et étroits, rendant l’accès difficile et perturbant l’espace d’exposition. Le visiteur se retrouve comme un explorateur, projeté dans l’antre de la galerie. Du blanc immaculé, éblouissant, rendant sa déambulation inquiétante pour mieux appréhender l’espace et faire partie intégrante de l’oeuvre.
Couloir, 2012
résidus de plaques de BA13, rails aluminium, ventilation et tube fluorescent,
Dimensions variables